Jamais le peuple chypriote n’acceptera de se faire spolier

Jamais le peuple chypriote n’acceptera de se faire spolier

 

En choisissant un président de droite pour succéder au président Christofias d’AKEL, la majorité du peuple chypriote a cru qu’un compromis avec l’Union européenne serait plus facile à trouver. L’actuel président avait fait toute sa campagne en ce sens. Le prêt de 17 milliards d’euros demandé pour « sauver » le système bancaire chypre_1national s’est transformé en 10 milliards avec une compensation de 5,8 milliards d’euros obtenus par une ponction sur les comptes bancaires des déposants à Chypre. Ceci comprend à la fois les comptes Offshore d’étrangers principalement russes et ceux des militaires anglais stationnés depuis la partition de 1974, mais aussi et surtout les comptes courant des chypriotes. La taxe sera de 6,75 pour cent pour tous les dépôts en dessous de 100 000 euros et de 9,9 pour cent au-delà. Il est vraisemblable que tout le weekend les étrangers ainsi que les « gros comptes » ont déjà déplacé les dépôts vers d’autres cieux bancaires plus cléments. Les petits déposants locaux n’auront pas cette possibilité. Cette mesure jamais débattue encore moins envisagée, est un choc pour le peuple qui se sent légitimement trahi.

Les mêmes recettes produiront les mêmes effets. La population va se ruer vers les banques dès leur réouverture. La taxe n’aura pas le rendement voulu et donc d’autres mesures austeritaires sont à prévoir. Chypre suivra ainsi le chemin de la Grèce. Encore faut-il que le parlement accorde sa confiance au gouvernement. Face à ce coup de force, le PCF apporte tout son soutien à AKEL et au peuple chypriote. Jamais le peuple chypriote n’acceptera de se faire spolier. Seule une Europe construite sur la solidarité et non sur le chantage peut espérer avoir un avenir.

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Tarifs de l’énergie : le nom de la loi change, le système de malus pour les usagers reste !

Tarifs de l’énergie : le nom de la loi change, le système de malus pour les usagers reste !

La proposition de loi sur la « tarification progressive de l’énergie » retoquée au Sénat en octobre dernier, a été adoptée hier à l’Assemblée nationale sous sa nouvelle dénomination de loi de « transition vers un système énergétique sobre ». Le nom de la loi change, mais le système de malus pour les usagers reste.

energie_2Les députés et sénateurs communistes sont parvenus à faire adopter au cours de la discussion un élargissement des tarifs sociaux, et une interdiction des coupures et des résiliations de contrats durant la trêve hivernale. Mais ces avancées sociales sont entachées par de nombreux reculs en matière de politique énergétique.

Ne tenant pas compte du débat démocratique et récusant les avancées adoptées au Sénat sous l’impulsion des sénateurs communistes et Front de gauche, les députés socialistes ont adopté unilatéralement un texte s’attaquant au principe fondamental d’égalité devant l’accès à l’énergie sur tout le territoire.

En guise d’économie d’énergie, ce texte ne va produire à compter de 2016 qu’un alourdissement du prix de l’énergie dans les foyers les plus mal logés, ceux vivant dans des passoires thermiques. La complexité du dispositif de bonus-malus n’a d’égale que son injustice. Les usagers les plus mal lotis supporteront seuls le coût de la progressivité des tarifs.

Une vraie loi sociale aurait du s’attaquer aux tarifs indécents pratiqués par les opérateurs d’énergie privés. Les prix du gaz et de l’électricité ont augmenté respectivement de plus de 60% et de 17% depuis la privatisation d’EDF et GDF en 2005. Or cette loi, non seulement ne les remet pas en cause, mais elle accentue le phénomène. En assouplissant les règles d’implantations des éoliennes et en limitant tout contrôle démocratique sur leurs installations, cette loi livre une manne financière aux opérateurs privés et aux fonds de pensions, qui s’approprient cette très lucrative production d’énergie renouvelable.

L’adoption à marche forcée du malus énergétique et de la libéralisation de l’éolien, augure de bien mauvaise façon le grand débat national sur la transition énergétique qui vient d’être lancé.
Le Parti communiste réaffirme son attachement à la constitution d’un pôle public national de l’énergie, qui seul permet de garantir une égalité de traitement entre tous les usagers et permet de leur garantir les prix les moins chers.

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« Le décès de Hugo Chavez, une grande perte pour le Vénézuéla et pour l’Amérique latine tout entière »

« Le décès de Hugo Chavez, une grande perte pour le Vénézuéla et pour l’Amérique latine tout entière »

Au nom du Parti communiste français et en mon nom propre, je voudrais saluer la mémoire du président Hugo Chavez Frias décédé le 5 mars après avoir affronté courageusement une longue maladie.

hugo-chavezLe peuple vénézuélien perd un dirigeant, sans doute le plus important dans son histoire récente, qui a changé radicalement ses destinées. Il reste le président des gens modestes qui a apporté des avancées démocratiques et sociales sans précédent. Sous sa présidence, le Venezuela est devenu un pays indépendant et libre de la domination des pires fléaux du sous-développement dans lequel l’avaient laissé des décennies de gouvernement des forces corrompues et soumises à l’hégémonie étasunienne.

Son décès est aussi une grande perte pour l’Amérique latine tout entière, pour tous ces pays avec qui le Venezuela a développé des relations de coopération et de solidarité, pour tous les gouvernements progressistes avec qui le président Hugo Chavez Frias a commencé à construire une union continentale fondée sur le développement humain et le respect des souverainetés.

Je tiens à transmettre à son peuple, à sa famille, au vice-président Nicolas Maduro et à tous les révolutionnaires vénézuéliens nos plus attristées condoléances et toute notre solidarité. Nous sommes confiants dans l’avenir de la révolution bolivarienne et des peuples de l’Amérique latine forts de l’œuvre qu’il laisse.

Pierre Laurent, Secrétaire National du PCF

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Dans la rue le 5 mars, pour dire: ce n’est pas au MEDEF de faire la loi

tete-manif5mars2013Ce 5 mars dans plus de 170 rassemblements, les travailleuses et le travailleurs expriment leur profond mécontentement sur l’avant-projet de loi qui sera discuté au Conseil des Ministres du 6 mars.

Avant-projet de loi peu médiatisé; les lecteurs de la presse locale auront pu lire que la manifestation entrainerait des perturbations sur Grenoble et leurs écrits concernant le 5 mars ont mis en avant la Frigide opposante au mariage pour tous.

Plus la vérité se fait jour sur le contenu de l’Accord national interprofessionnel conclu entre le Medef et certains syndicats de salariés, plus il devient évident qu’il s’agit d’un mauvais texte, qui va profondément dynamiter le code du travail.

manif5mars2013Annie David, sénatrice communiste de l’Isère, au premier rang des manifestants à Grenoble a tenu à rappeler: les plans de licenciements se multiplient, les chiffres du chômage explosent, le temps partiel et le contrat à durée déterminé, se posent déjà en règle pour un nombre toujours plus grand de salarié-e-s, loin de sécuriser l’emploi cet accord le fragilise encore un peu plus et représente en réalité une régression sociale : encore plus de facilités pour les entreprises de licencier, limitation des droits  des salarié-e-s et du rôle de leurs représentant-es, plus de flexibilité, de modulation du temps de travail, de mobilité forcée, droit de réduire les salaires et donc impacter d’autant le niveau des futures retraites….Par contre rien n’est prévu dans cet accord sur une baisse même temporaire des dividendes versés aux actionnaires, d’encadrement des hauts salaires, de limitation des parachutes dorés…  Les seules avancées de ce texte, généralisation de la complémentaire santé, droits rechargeables à l’assurance chômage ou formation, sont repoussées à de futures et hypothétiques négociations….

Le parlement, Assemblée Nationale et Sénat,  n’est pas une chambre d’enregistrement et la démocratie sociale n’impose pas aux parlementaires une transposition aveugle d’un texte qui ne leur conviendrait pas.

Aussi, avec mon groupe, communiste, républicain et citoyen au sénat, et les élus du Front de gauche, nous n’accepterons pas cette casse des droits des salarié-e-s et du code du travail. C’est dans ce sens que nous interviendrons en séance, pour porter d’autres propositions, comme celle contre les licenciements boursiers et le droit de reprise des salarié-e-s, ou bien le droit de veto et de débattre des choix stratégiques de l’entreprise, ou encore des droits attachés à la personne et transférable d’une entreprise à une autre, un compte individuel de formation opposable à l’employeur, pour l’égalité hommes-femmes en matière de salaire.

Les salariés se font avoir sur toute la ligne.

5mars-manifSi rien n’est fait, c’est une vraie révolution du Code du travail qui va se jouer. Les salariés et les syndicalistes n’auront plus aucun moyen de se battre contre les licenciements !

Laurence Parisot et le MEDEF ont mené une bataille d’enfer pour tenter de reconduire Nicolas Sarkozy et la droite au pouvoir; les salarié-e-s, majoritairement ont voté pour les écarter sur la base d’un slogan: le changement, c’est maintenant.

Aujourd’hui, elles et ils se sentent trahis et la quote de popularité du Président de la Réublique est à son plus bas niveau.

Face à cette montée du mécontentement, le gouvernement et une partie des députés socialistes se mobilisent.

Pour le ministre du Travail Michel Sapin, l’accord signé par 3 syndicats ultraminoritaires sur 5 est majoritaire, c’est comme si demain à l’Assemblée nationale et au Sénat, c’est le nombre de groupes parlementaires qui deviendrait la règle démocratique des décisions de la République.

100 député-e-s ont signé une tribune dans le JDD (dont les député-e-s de l’Isère: François Brottes, Michel Destot, Joëlle Huillier, Michel Issindou, Olivier Véran et le sénateur André Vallini) prétendant qu’il s’agissait d’une avancée au nom de la « démocratie sociale ».

Que de contre-vérités !

La « démocratie sociale » est devenue la nouvelle expression magique pour faire avaler de toute force ce projet si néfaste. Mais les mots ont un sens.

La démocratie, c’est un homme, une voix et une majorité.

L’ANI est tout sauf cela, car élaboré par une minorité des représentants syndicaux. La démocratie même accolé de l’adjectif social, ce n’est pas la domination d’une minorité sur la majorité.

Cette accord ne doit pas être transposé par la gauche à l’assemblée qui est majoritaire, faut-il le rappeler.

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Fins de mois difficiles ? Pas pour les patrons et les actionnaires…

tractPA-fev2013Une grande partie de la population se retrouve confrontée à une baisse significative du pouvoir d’achat.
En 2012 : les fins de mois se sont jouées à 50 ou 150 euros près pour 12 à 15 millions de personnes, un Français sur quatre a renoncé à des soins pour raisons financières et 27% ont eu des difficultés à assumer leurs dépenses de logement.
Depuis un an qu’il est au pouvoir, non seulement le gouvernement socialiste n’a pris aucune mesure significative pour changer cela, mais il a promu au contraire une politique d’austérité (dépenses publiques en berne, hausse de la TVA…)
A l’origine de cette situation inadmissible, entre autres :
– la faiblesse des salaires : 4 millions de salariés touchent moins que le SMIC, et 2,7 millions sont smicards (1 118€ net) ;

– l’emploi précaire : concerne près de 3 millions de salariés (10% de la population active) ;
– un chômage en hausse permanente : 4 627 600 inscrits en décembre 2012 (+8,8% en un an), dont près de la moitié ne sont pas indemnisés ;
– la flambée des prix de nombreux produits de première nécessité (pain, pâtes, café, légumes, gaz, essence…) ;
– la hausse de la TVA, décidée par le gouvernement socialiste. Subie par l’ensemble de la population, même les plus pauvres, elle servira … à financer pour 6 milliards d’euros le crédit d’impôt de 20 milliards accordé aux entreprises…

Les mesures envisagées aggraveront encore la situation en réduisant les ressources de dizaines de millions de personnes :
– Alors que le montant des pensions n’a cessé de diminuer au fil des réformes, le MEDEF propose de revaloriser jusqu’en 2015 les retraites AGIRC et ARRCO (11 millions de personnes) très en dessous de l’inflation.
– Didier Migaud, ancien député socialiste de l’Isère et président de la Cour des compte, suggère de taxer les allocations familiales…
De l’argent, il y en a
Pendant ce temps les riches sont toujours plus riches. Depuis 2006, au sein des entreprises du CAC 40, les dividendes versées aux actionnaires ont grimpé de 31%, la rémunération des grands patrons de 34% et les salaires des employés de …13% ! Ces mêmes actionnaires vont se partager en 2012 la bagatelle de 38,3 milliards d’euros (+5%).
Ce qui est possible
Le gouvernement socialiste doit changer radicalement de cap et prendre immédiatement des mesures significatives en faveur du pouvoir d’achat. En voici quelques-unes préconisées par le Parti Communiste et le Front de gauche :
– Suppression des niches fiscales liées à l’impôt sur les sociétés = 80 milliards d’euros
– Taxation des revenus du capital à la hauteur des revenus du travail = 20 milliards d’euros
– SMIC à 1700 euros brut (coût : 14,9 milliards d’euros)
– Relèvement des minima sociaux…

Mobilisation contre l’Accord national interprofessionnel « Sécurisation de l’emploi »
Les salariés résistent, parce qu’ils refusent de voir leur outil de travail détruit alors qu’aucun motif économique ne le justifie. Le Medef a réussi, le 11 janvier 2013, à conclure un accord avec trois organisations syndicales. Et les
parlementaires sont sommés de retranscrire cet accord dans une loi, dont le projet sera présenté le 6 mars au conseil des Ministres. Dire NON le

Mardi 5 MARS à 10H GRENOBLE, participer à la MANIFESTATION : départ 10h à l’angle Foch/Jean-Jaurès

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Les droits des travailleurs s’arrêtent-ils à la porte de la commission des Lois du Sénat ?

Meeting-de-soutien-à-PSACe mercredi 13 février, la commission des Lois du Sénat, pourtant majoritairement à gauche, a rejeté la proposition de loi « Amnistie sociale » du groupe Communiste républicain et citoyen.

      Ce rejet est inacceptable !

Ces dernières années, les difficultés rencontrées par les Français se sont fortement accrues : chômage, précarité, accès au logement, à la santé, inquiétudes sur l’environnement… Beaucoup de nos concitoyens se sont légitimement engagés dans des mouvements sociaux. Ils se sont exprimés pour faire respecter leurs droits fondamentaux, protéger leurs conditions de travail, préserver l’emploi, les services publics, un système de protection sociale efficace et solidaire, leur environnement…

Parmi eux, beaucoup sont frappés de procédures criminalisant leurs actions revendicatives. Or, les travailleurs en lutte, les citoyens qui défendent l’école, leur outil de travail, leur hôpital, le droit à l’emploi et à la retraite, ne sont pas, n’ont jamais été des délinquants ou des criminels !

Le 27 février, en votant cette proposition de loi « d’amnistie sociale », la gauche sénatoriale avec le soutien du gouvernement, peut rétablir ces travailleurs injustement poursuivis dans leurs droits. 

            Cela constituerait enfin un premier signe positif en leur direction.

 

Paris, le 13 février 2013.

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Pour une école de la réussite de tous les élèves sur tout le territoire

tract-ecole-fev2013Le projet de loi sur l’école affiche de grands objectifs que les communistes partagent :
Recrutement d’enseignants, priorité au primaire, réaffirmation du rôle de la maternelle et scolarisation des moins de 3 ans, réaffirmation du collège unique, création d’écoles supérieures du professorat pour la formation des enseignants.
Cependant, le projet de loi échoue dans ses ambitions de refonder l’école pour faire reculer l’échec scolaire.
Interpréter l’échec scolaire uniquement en termes de « rythmes », c’est faire l’impasse, par exemple, sur la suppression en 2012 de 2 500 postes d’enseignants spécialisés dans l’aide aux enfants en difficulté (RASED).
Le premier objectif de l’école publique n’est-il pas de permettre à chacun d’acquérir les bases nécessaires à la réussite scolaire.
Cette modification des rythmes scolaires provoque de multiples oppositions : elle n’améliore pas significativement l’équilibre du temps de l’enfant et elle est jugée comme une nouvelle dégradation des conditions de travail des enseignants et des autres personnels .
La réforme telle qu’elle est prévue ne fera que déstabiliser l’école : elle manque de clarté sur ses visées et ses modalités d’application.
Les rôles respectifs du scolaire et du périscolaire ne sont pas précisés. Des activités pédagogiques
pourront être mises en place, mais le gouvernement ne dit pas au service de quel projet éducatif. Sa faible durée, 45mn, en réduit la portée et pose la question du personnel encadrant.
Quant aux délais de mise en oeuvre pour les communes, ils sont trop courts.

Cette réforme va aggraver les inégalités territoriales face au service public de l’éducation nationale. Comment les communes les plus pauvres pourront-elles assumer les coûts supplémentaires qu’impliquent ces nouvelles activités pédagogiques périscolaires et la nécessaire formation des personnels ?
Comment pourront-elles faire face à l’augmentation de la demande de restaurant scolaire, de centre de loisirs ou de transport scolaire, découlant de la scolarité le mercredi matin ?
Les activités sportives, culturelles et socio-éducatives vont se trouver sérieusement perturbées. Comment feront les parents (notamment les femmes) qui ont choisi le temps partiel afin d’être disponibles le mercredi, pour renégocier leur temps de travail ?
L’assouplissement des normes d’encadrement (même personnel pour plus d’enfants) va nuire à la qualité de l’accueil journalier et à la sécurité des enfants.
Les enseignants du primaire sont très massivement opposés à cette réforme. Ces 10 dernières années, l’école a été attaquée de toutes parts par la droite, sa mission a été rendue difficile par des réformes qui n’avaient d’autre but que de répondre au dogme de la baisse des dépenses publiques. Ainsi les conditions de travail ont été fortement dégradées en même temps que les conditions d’apprentissage des élèves.
Il faut prendre le temps de faire une réforme au service de la réussite de tous les élèves sur tout le territoire. Les conditions du débat ne sont pas réunies pour une application de cette réforme dès la prochaine rentrée.

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